Le cancer du foie est une maladie fréquente. Les patients atteints par ce cancer sont le plus souvent des personnes qui souffrent déjà d’une maladie du foie chronique. Sans le savoir puisque le foie n’est pas un organe qui fait mal. C’est regrettable car on peut guérir du cancer du foie pour autant que le diagnostic soit fait à un stade précoce, d’où l’importance de trouver des marqueurs qui permettraient un dépistage efficace.
En termes de traitement médicamenteux, un seul médicament s’est révélé utile; il faut évidemment élargir ce choix et en trouver d’autres.
La Fondation a donc pour buts, d’une part d’informer pour que les personnes à risque puissent être rapidement identifiées et, d’autre part, de soutenir la recherche pour de meilleurs outils diagnostiques et thérapeutiques.
Pour les patients luttant contre le carcinome hépatocellulaire (CHC), le traitement standard de première ligne est généralement l’immuno-oncologie, spécifiquement l’atézolizumab plus bévacizumab (A+B). Mais que se passe-t-il lorsque ce traitement échoue ? La stratégie optimale de traitement ultérieur, ou de deuxième ligne, reste « assez ouverte » et « indéfinie » dans la pratique clinique.
Dans une récente session « Ask the Author », le professeur Kudo a discuté de l’essai LEAP-012 et de ses implications pour le traitement du carcinome hépatocellulaire (CHC) avec le professeur Dufour. L’étude, intitulée « TACE combiné avec lenvatinib plus pembrolizumab versus double placebo pour le CHC non résécable et non métastatique LEAP-012 », examine une nouvelle approche pour
Dans le domaine en constante évolution du traitement du carcinome hépatocellulaire (CHC), chaque avancée nous rapproche d’un avenir plus prometteur pour les patients. Nous sommes ravis de vous présenter une interview exclusive avec le Professeur Andrea Casadei-Gardini, expert reconnu en oncologie, qui partage les résultats essentiels de son étude intitulée : « Lenvatinib versus Sorafenib
